Auteur, écrivain et conférencier

Biographie

Présentation Serge de Fareins

 Serge BOUCHET de FAREINS
Serge Bouchet de Fareins
Fils d’officier, je suis né en 1941 au Liban. En retraite, je partage mon   temps entre activités associatives culturelles et création littéraire :   passionné par l’Histoire, plus particulièrement militaire, j’ai débuté   par la biographie de Journet de l’An II, officier de Napoléon Ier,   puis me suis attaché, avec Vous ne passerez pas !  à retracer la   résistance du département de l’Ain à l’invasion des Alliés en 1814.   Président du Comité de l’Ain de la Fondation Maréchal de Lattre,   mon  souci du devoir de mémoire m’a amené à recueillir, avec De   l’Ain au  Danube, les témoignages d’une vingtaine de vétérans de la   Première  Armée Française « Rhin et Danube ». Aimant l’humour, j’ai   également  écrit, pour l’association Les gloires napoléoniennes dont   je  fus le  fondateur, une comédie burlesque, Avis de recherche. Me   voulant  auteur pluriel, j’ai réuni dans Au coeur de ma   plume  contes et  nouvelles – dont plusieurs ont depuis été primés –   et  publié Le diable dans le grenier, qui dépeint la vie   quotidienne  en Bretagne pendant  la seconde guerre mondiale et   l’immédiat après-guerre. Cet ouvrage se veut essentiellement   témoignage  et  acte de   reconnaissance envers tous  ceux, parents ou   non, qui m’ont enseigné combien le bonheur peut se montrer   simple à qui sait donner ou rendre un  sourire.

 A l’occasion, j’ai rédigé aussi quelques  pièces de théâtre tantôt pour   adultes (Avis de rechercheLes pieds dans le tapis), tantôt   pour  enfants   ou  adolescents   (La   maudite poudre, Les   pigeons  n’ont  toujours  pas de   vécés, Peluche dans ses   meubles…) et  scenarii de spectacles Son et Lumière  (À l’ombre   du  clocher, réalisé pour le 15oème anniversaire de   l’église de   Marboz).

 Membre de diverses sociétés savantes et associations d’auteurs, très   impliqué dans le monde de la mémoire combattante,  je donne aussi   des conférences sur des thèmes aussi variés que l’histoire de la Légion   d’Honneur, l’argot des « grognards » de Napoléon, les conséquences de   la Grande Guerre, François Ier et les femmes, etc. et me tiens à la   disposition des structures intéressées.

 Pour conclure, je dirais que si l’écriture est une passion   enrichissante, un merveilleux passe-temps, elle ne peut   toutefois trouver sa plénitude que partagée avec les       lecteurs. 

 Et quand ceux-ci manifestent leur sympathique satisfaction, leurs   encouragements à poursuivre, ce m’ est une bien belle et joyeuse     récompense !